Retrouvez Kaori et son assurance-vie engagée Kaori.vie dans L’AGEFI !
Dans le dossier du magazine L’Agefi Alpha daté d’avril 2024 (https://www.agefi.fr/asset-management/analyses/la-croisade-ethique-de-la-finance-chretienne) consacré à la finance chrétienne, la journaliste Laurence Pochard évoque Kaori, notre association d’épargnants créée par le Secours Catholique-Caritas France et son contrat d’assurance-vie Kaori.vie.
Extrait : « Kaori a envoyé un long questionnaire ESG à 450 sociétés de gestion et, en fonction des réponses, a pris les 28 meilleurs. Le comité de sélection a regardé la composition des portefeuilles pour mesurer l’exposition des titres aux controverses et veut que les fonds soient équilibrés entre les trois piliers. Il s’agit en majorité de fonds actions, deux fonds obligataires, dont un d’obligations sociales, et deux fonds solidaires 90/10. »
La parole est aussi donnée à François Soulage, président du comité d’éthique :
« Nous ne nous définissons pas comme de la finance chrétienne, mais comme une finance éthique portée par les valeurs du Secours Catholique qui est ouvert à tous, explique François Soulage, ancien président du Secours Catholique et économiste qui préside le comité d’éthique de Kaori. Nous cherchons à travailler dans la finance traditionnelle sans brandir notre carnet de baptême, mais en nous référant à la doctrine sociale de l’Eglise pour des orientations et non des règles strictes. »
L’article souligne que « Kaori entend que ses gérants jouent un rôle actif dans l’engagement avec les sociétés de leur portefeuille », ce qui suppose de récupérer auprès des entreprises leur rapport sur le devoir de vigilance, de veiller à ce que l’argent soit mieux utilisé notamment pour se diriger vers la transition écologique plutôt que les rachats d’actions. Et François Soulage de conclure : « Je crois que l’erreur de se déclarer sous le signe de la finance chrétienne, c’est de s’enfermer dans une seule approche, qui peut faire blocage. Je pense que la finance éthique et responsable a de l’avenir, en faisant appel à la responsabilité et à l’intelligence des personnes. »
Merci à Laurence Pochard et à L’Agefi pour leur intérêt !